Les auberges

Rue Faideau, ancienne auberge l'Écu de FranceRue Faideau, ancienne auberge "L'Écu de France"

Des auberges ont été identifiées, caractéristique d’un lieu de passage fréquenté.
Leur durée d’exploitation est très variable avec des changements d’adresse qui ont été mis en évidence parallèlement à l’évolution des voies de communication.

L’Image Saint-Jacques se tenait près de l’ancien pont, le Dauphin près de la place du même nom a été détruit par le percement de la rue Jean Jaurès.
À proximité l’auberge des Trois Piliers, encore en usage au XIXe s., changeait plusieurs fois d’adresse comme celle des Trois Rois déplacée sur la nouvelle voie principale (rue du Marché).

L’Écu de France offre une belle façade à trois niveaux avec des armoiries qui rappellent son nom et sont encore lisibles, bien que martelées, sous une fenêtre du premier étage, tandis que, plus loin, l’auberge du Petit Paris et celle de la Madeleine (38 et 46 rue Faideau) n’ont apparemment été exploitées que quelques années.

Rue Faideau, le Grand LogisRue Faideau, le "Grand Logis"

Perpendiculaire à la Grande Rue, la rue Saint-François, devenue rue de Châtellerault, abritait l’auberge du Chêne Vert, connue sous le nom de “Logis des Templiers” (classée Monument Historique en 1915).

Près de la rue du Petit Pont, une vaste maison, dénommée “le Grand Logis” possède une façade de la fin du XVIe ou début XVIIe s.

Poursuivre dans la rue Faideau, puis tourner à droite dans la rue du Moulin Saint-Léger.